vendredi 22 janvier 2016
Le cinéma français peine à s'illustrer
En réponse à la chronique d'Odile Tremblay (Le Devoir, 20 janvier 2016)
Votre raisonnement tient la rampe...par contre, j'ajouterais que la société francophone du Québec est véritablement à la remorque du marché anglais à travers la desserte de films.
Prenons pour seul exemple le film SELMA (vie de Martin Luther King). Pour le voir en français...il m'a fallu me rabattre sur le cinéma "maison" alors que je cherchais à le voir en salle. Ce qui ajoute au pouvoir d'assimilation des francophones du Québec!
Bientôt le cinéma anglais prendra toute la place....car la majorité accepte de voir un film avec sous-titres ou encore de le voir dans la langue d'origine.
Pour toutes ces raisons....je vais de moins en moins au cinéma.
Publication de la présente réponse dans Le Devoir du 22 janvier 2016.
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